Quelle idée méritait qu’un homme meure pour qu’elle vive ? Pour l’insouciant Martin Favre, aucune. Mais la guerre, la défaite française et l’Occupation ont tout balayé. Encore choqué par les combats endurés, Martin répond à l’appel du 18 juin et rejoint les Français libres de Londres. Ses pas chevillés à ceux du commandant Leclerc, les yeux rivés sur le Général de Gaulle, c’est en Afrique que commence sa mission de libération.