Entraîné par la fougue de Kuroda, Kawashima trompe son ennui dans un monde du spectacle où le Japon vaincu vient oublier et s’émouvoir le temps d’une représentation. Mais entre la mainmise de la pègre sur le divertissement et les ten- sions entre occupants et occupés, Tokyo est encore loin de renouer avec l’insouciance.