Le mystérieux Drosselmeyer, sorti des murs de l’Atelier tel un diable de sa boîte, emporte Miharu sous les yeux horrifiés (et invisibles) de Knecht. Notre pauvre héros, éberlué, se retrouve alors projeté dans la Douce Nuit, une boucle temporelle futuriste se déroulant au réveillon suivant. Pendant que Miharu est aux prises avec ce casse-tête chronographique, Knecht, au pied du mur, dévoile la vérité sur l’enrôlement forcé du jeune homme à l’Atelier.