Son père pendu, sa mère suppliciée au gibet de Montfaucon, François Villon connaît les pires atrocités de la vie dès son plus jeune âge. Recueilli par le chanoine de Saint-Benoît, il est envoyé dans le meilleur collège de Paris. Mais à ses études, il préfère la poésie, l’hypocras et la fornication. Poète et ribaud à la fois, il commettra tous les actes possibles, des plus sublimes aux plus abominables.